Le moment est venu pour moi, Léo, de réactiver ce blog trop longtemps délaissé pour de multiples bonnes et mauvaieses raisons. En tous cas, l'envie est là ! Le Jeu tel que nous l'avions conçu s'est terminé avec le départ de l'un des joueurs pour d'autres aventures moins vicieuses. Lou et moi n'avons toutefois jamais cessé de jouer à deux ou occasionnellement à plusieurs. L'objet de ce blog ne sera donc plus restreint au Jeu. Il est dorénavant élargi à la narration de nos aventures et encore plus largement à l'exposé de mes humeurs, sentiments et réflexions relatifs à notre vie libertine. J'espère ne pas être trop rasoir ! J'essaierai d'illustrer mes propos par des supports visuels dans la limite du possible car nous ne prenons pas de photos ou de vidéos lors de toutes nos rencontres.

Pour re-commencer, voici les clichés eque Lou et notre complice m'ont envoyés par MMS lors du salon dont il est question dans mon précédent billet :

Après l'avoir repérée sur son stand sans qu'elle ne puisse le voir, notre ami lui intime par MMS d'aller retirer sa culotte aux toilettes. Elle s'exécute quelques minutes après et revient à son stand, sans culotte. Il l'admire alors renseigner les clients avant de se montrer à elle, ce qui lui cause manisfestement un grand trouble : elle n'était pas au courant qu'il serait présent au salon et ne l'avais vu qu'en photo sur Internet mais l'a tout de suite reconnu. Il lui demande alors par sms de le rejoindre à la buvette, d'où il prend ce cliché qu'il m'envoie promptement. Je rappelle qu'à cet instant, la salope est déjà sans culotte dans cet endroit bondé, en compagnie d'un homme qu'elle ne connaît que par forum interposé.   

Quelques minutes après être retournée à son stand, notre ami lui demande d'aller se mettre un rosebud dans le cul aux toilettes et d'en apporter la preuve. Il savait que je lui en avait glissé un dans son sac à main avant qu'elle ne parte travailler... La coquine s'exécute, prend la photo, nous l'envoie à tous les deux et retourne à sa tâche le cul fourré et sans culotte. Excitation et stress maximum !

A suivre !

C’est en effet ce qui se passa. Elle avait envie de nous sucer, nous avions hâte de lui bouffer la chatte et le cul à pleine bouche ; nous fîmes tout à la fois. Fred et elle tête-bêche, elle eut droit à l’un de ces tourments qu’elle affectionne de plus en plus : il lui léchait le clitoris et pénétrait sa chatte avec deux de ses doigts, tandis que je lui masturbais vigoureusement le cul avec deux des miens. Sa bouche coulissait sur le sexe de Fred en suivant le rythme des mouvements de nos doigts dans ses entrailles, traduisant son indicible excitation. Nous en rajoutions en commentant son état de « bonne salope qui aime être fouillée » et en riant de l’effet que lui faisait la rencontre de nos doigts à travers la mince paroi de chair qui sépare le vagin du rectum. Je la sentais prêt pour sa petite surprise. Sans qu’elle ne s’en aperçoive, je me saisis du plug anal en plexiglass que j’avais apporté dans mes bagages, entre mes dossiers et mes chemises bien repassées. Quand il l’aperçu et que je le lui tendis, Fred me gratifia d’un sourire perversement complice. Il lubrifia l’objet de sa salive pendant que je crachais sur l’anus de ma belle. Déjà bien ouverte et très excitée, elle se rendit compte de ce qui lui arrivait alors que l’objet était déjà à moitié dans son fion. Il arriva rapidement dans sa position finale, comme englouti par ce cul affamé. Tandis que Fred et elle continuaient à se prodiguer des caresses buccales, je procurais à Lou quelques sensations divines en faisant osciller rapidement le plug dans son logement. Nous changeâmes de tableau : je laissais mes deux comparses jouer seuls et prenais quelques clichés. Fred était en rut : il lui baisait la bouche, la masturbait, l’exhibait crûment.

Notre belle lubrique, se souvenant de ce qu’elle a gagné haut la main le jeu de défis qui l’opposait à Fred dans le cadre du Cercle, se mit en tête de lui infliger sa sanction sous la forme d’une quinzaine de fessées. Assise sur le canapé, la queue de Fred dans sa bouche, elle commença à le fesser. C’était sans compter sur le caractère dominateur de notre ami qui retourna la situation en lui disant que ses fessées avaient pour effet de le pousser plus profond dans sa bouche. Et elle fessa jusqu’à ce qu’il lui impose une de ces gorges profondes qu’elle apprend à apprécier en bonne petite chienne, soumise par plaisir au plaisir des hommes.

Fred profita longuement de sa bouche avant d’enfiler un préservatif, de lui retirer le plug et de la prendre en missionnaire et en levrette sur le canapé.

Puis il la conduisit à la jouissance en la sodomisant bestialement, lui rendant ses fessées au centuple et lui faisant bien remarquer sa condition de salope qui aime se faire prendre le cul. Quelques minutes après, je prenais le relai dans sa chatte. Fred se faisait sucer et lui administrait des fessées bien plus appuyées que les miennes qui laissaient la marque de ses mains sur la croupe de ma chérie. Celle-ci ne s’en offusquait pas, bien au contraire. Après que j’eus rempli ma capote, Fred et Lou baisèrent plus tendrement. Puis nous fîmes une pause...

...et nous rendîmes sur le lit pour remettre ça.  J’étais à nouveau au garde à vous et je sentais que la miss avait toujours le feu à son joli cul. Je l’enculais autoritairement comme la dernière des putains jusqu’à ce qu’elle vienne à nouveau, le visage perdu quelque part entre les jambes de Fred qui arrosa copieusement son beau visage rougi d’émotion.

That's all fucks !

Nous te prendrons en autostop, non loin de chez nous. Je conduirai, elle sera assise à l’arrière. Tu monteras par la portière arrière droite et t’installeras à ses côtés. J’aurai placé une petite pochette en tissu dans la boîte située à l’arrière de l’accoudoir central et accessible par toi. Elle n’en saura rien. La pochette contiendra deux jouets avec lesquels tu pourras t’amuser : un rosebud et le fameux œuf vibrant télécommandable à distance qui a déjà servi à Lou pour la réalisation d’un de ses défis. Au cours du trajet et lorsque l’excitation sera à son comble, tu lui introduiras les deux objets et tu pourras tester le bon fonctionnement de la télécommande. Je vous conduirai dans une guinguette sur les bords du lac de ******-******, vous aurez tout loisir de vous chauffer. Là-bas, nous prendrons un verre ensemble en terrasse, profitant de la douceur de ce mois d’avril. Tu feras rosir ses joues en jouant avec la télécommande et en ayant quelques gestes déplacés. Si la faible affluence le permet, je vous conduirai ensuite dans un endroit excentré où elle pourra furtivement assouvir son envie de toi en prenant ton sexe en bouche. Puis nous ferons le chemin du retour pour nous rendre chez nous où j’aurai préparé un apéritif-dînatoire, qu’accompagnera le champagne que tu souhaites apporter. Prends garde à ce moment-là qu’elle ne te mange pas tout cru !

Tel est en substance le petit scénario que Xtoff et moi avions concocté de concert pour notre deuxième rencontre. Compte tenu de l’éloignement du lieu initialement prévu et du problème de l’inadéquation de la tenue de Lou avec le caractère champêtre de celui-ci, nous avons finalement décidé que notre point de chute serait un bar du centre-ville dans lequel Lou avait déjà « vibré » lors d’une précédente rencontre. Un SMS de Xtoff annonçant son arrivée et 5 minutes après, il monte dans notre voiture à côté de Lou. Pour cette partie de la rencontre, je ne suis pas le mieux placé pour vous raconter ce qui s’est passé sur les sièges arrière : conduire en ville requiert une attention qui ne me permettait que quelques coups d’œil furtifs dans le rétroviseur central, lequel me renvoyait tout au plus l’image de nos deux tourtereaux se bécotant à pleine bouche, faisant fi du regard des passants et des conducteurs voisins. Avec le son, cela suffisait largement à mon excitation : Lui : c’est bien joli tout ça… Elle : Hummm… Lui : tiens, voici deux petits jouets qui vont te plaire. Elle : ça y est, c’est rentré. Moi : lequel ??? Elle : le rosebud. Moi : tu l’as mis au bon endroit au moins ? Elle : t’es con… Lui : écarte ta culotte. Elle : pas sûr que les deux rentrent ! Hummm, si, c’est bon… Lui : ça vibre là ? Elle : non. Ah, là, oui ; oh putain c’est bon. Remarque, c’est presque meilleur quand on le met dans le cul. Mets plus fort. Lui : on fait comment pour changer de vitesse ? Elle : tu appuies là… ouf, oui, là, je le sens bien ! N’y tenant plus, je parvenais à tourner la tête à un feu rouge. La robe de Lou était remontée en haut des cuisses, laissant apparaître la jarretelle de ses bas noirs. Elle écartait les jambes, s’offrant entièrement aux attouchements de Xtoff dont elle caressait la bosse qui s’était formée au niveau de la braguette de son pantalon. Fourrée entièrement, masturbée, exhibée, ses joues empourprées traduisaient son trouble. Le mien n’était pas moins grand.

Devant la circulation complètement bloquée par une manifestation, nous avons abandonné l’idée de nous rendre dans le bar et avons fait demi-tour pour nous diriger vers notre appartement. Arrivés dans les sous-sols de l’immeuble, notre crainte d’être surpris par les voisins nous empêche d’aller plus loin que quelques effleurements, malgré l’envie. Nous attendons d’être dans l’intimité de l’appartement. Lou et Xtoff s’embrassent et se touchent pendant que je prépare les mignardises. Rapidement, la voici assise sur le canapé entre ses deux hommes, qu’elle satisfait alternativement de sa bouche.

Dénudée, je l’exhibe alors crûment à quatre pattes sous l’œil de Xtoff qui saisit judicieusement l’instant avec un appareil photo. 

A ma demande, elle essaye alors tant bien que mal de prendre nos deux queues en bouche. La sensation et proche de zéro, mais j’apprécie le côté pervers de la scène. En 69 sur Xtoff qui lui taquine le clitoris avec sa langue, je lui retire le rosebud et la fouille profondément avec deux doigts, pendant que je fais vibrer l’œuf resté à sa place, bien au chaud. Le cul cambré au maximum, bien ouverte, je la sens partir. Elle se perd lorsque je masse l’œuf vibrant à travers la fine et sensible paroi de chair qui le sépare de mes doigts. Il lui faut sa levrette, vite. Je m’y colle en premier, alors qu’elle continue à se délecter du sexe de Xtoff qu’elle apprécie particulièrement. Elle le suce goulûment, lui gobe ses couilles, le lèche partout, s’approprie son odeur et sa saveur. Elle jouit, je jouis. C’est bon. Après une brève pause qui nous permet de reprendre nos esprits,

elle le chevauche à califourchon sur un matelas que j’avais amené et disposé à même le sol à la demande de Lou.

Ils se mettent sur le flanc, je les regarde jouir ainsi, alangui sur mon fauteuil l'appareil photo dans une main, un verre de savagnin dans l'autre. Et c’est beau.