Nous te prendrons en autostop, non loin de chez nous. Je conduirai, elle sera assise à l’arrière. Tu monteras par la portière arrière droite et t’installeras à ses côtés. J’aurai placé une petite pochette en tissu dans la boîte située à l’arrière de l’accoudoir central et accessible par toi. Elle n’en saura rien. La pochette contiendra deux jouets avec lesquels tu pourras t’amuser : un rosebud et le fameux œuf vibrant télécommandable à distance qui a déjà servi à Lou pour la réalisation d’un de ses défis. Au cours du trajet et lorsque l’excitation sera à son comble, tu lui introduiras les deux objets et tu pourras tester le bon fonctionnement de la télécommande. Je vous conduirai dans une guinguette sur les bords du lac de ******-******, vous aurez tout loisir de vous chauffer. Là-bas, nous prendrons un verre ensemble en terrasse, profitant de la douceur de ce mois d’avril. Tu feras rosir ses joues en jouant avec la télécommande et en ayant quelques gestes déplacés. Si la faible affluence le permet, je vous conduirai ensuite dans un endroit excentré où elle pourra furtivement assouvir son envie de toi en prenant ton sexe en bouche. Puis nous ferons le chemin du retour pour nous rendre chez nous où j’aurai préparé un apéritif-dînatoire, qu’accompagnera le champagne que tu souhaites apporter. Prends garde à ce moment-là qu’elle ne te mange pas tout cru !

Tel est en substance le petit scénario que Xtoff et moi avions concocté de concert pour notre deuxième rencontre. Compte tenu de l’éloignement du lieu initialement prévu et du problème de l’inadéquation de la tenue de Lou avec le caractère champêtre de celui-ci, nous avons finalement décidé que notre point de chute serait un bar du centre-ville dans lequel Lou avait déjà « vibré » lors d’une précédente rencontre. Un SMS de Xtoff annonçant son arrivée et 5 minutes après, il monte dans notre voiture à côté de Lou. Pour cette partie de la rencontre, je ne suis pas le mieux placé pour vous raconter ce qui s’est passé sur les sièges arrière : conduire en ville requiert une attention qui ne me permettait que quelques coups d’œil furtifs dans le rétroviseur central, lequel me renvoyait tout au plus l’image de nos deux tourtereaux se bécotant à pleine bouche, faisant fi du regard des passants et des conducteurs voisins. Avec le son, cela suffisait largement à mon excitation : Lui : c’est bien joli tout ça… Elle : Hummm… Lui : tiens, voici deux petits jouets qui vont te plaire. Elle : ça y est, c’est rentré. Moi : lequel ??? Elle : le rosebud. Moi : tu l’as mis au bon endroit au moins ? Elle : t’es con… Lui : écarte ta culotte. Elle : pas sûr que les deux rentrent ! Hummm, si, c’est bon… Lui : ça vibre là ? Elle : non. Ah, là, oui ; oh putain c’est bon. Remarque, c’est presque meilleur quand on le met dans le cul. Mets plus fort. Lui : on fait comment pour changer de vitesse ? Elle : tu appuies là… ouf, oui, là, je le sens bien ! N’y tenant plus, je parvenais à tourner la tête à un feu rouge. La robe de Lou était remontée en haut des cuisses, laissant apparaître la jarretelle de ses bas noirs. Elle écartait les jambes, s’offrant entièrement aux attouchements de Xtoff dont elle caressait la bosse qui s’était formée au niveau de la braguette de son pantalon. Fourrée entièrement, masturbée, exhibée, ses joues empourprées traduisaient son trouble. Le mien n’était pas moins grand.

Devant la circulation complètement bloquée par une manifestation, nous avons abandonné l’idée de nous rendre dans le bar et avons fait demi-tour pour nous diriger vers notre appartement. Arrivés dans les sous-sols de l’immeuble, notre crainte d’être surpris par les voisins nous empêche d’aller plus loin que quelques effleurements, malgré l’envie. Nous attendons d’être dans l’intimité de l’appartement. Lou et Xtoff s’embrassent et se touchent pendant que je prépare les mignardises. Rapidement, la voici assise sur le canapé entre ses deux hommes, qu’elle satisfait alternativement de sa bouche.

Dénudée, je l’exhibe alors crûment à quatre pattes sous l’œil de Xtoff qui saisit judicieusement l’instant avec un appareil photo. 

A ma demande, elle essaye alors tant bien que mal de prendre nos deux queues en bouche. La sensation et proche de zéro, mais j’apprécie le côté pervers de la scène. En 69 sur Xtoff qui lui taquine le clitoris avec sa langue, je lui retire le rosebud et la fouille profondément avec deux doigts, pendant que je fais vibrer l’œuf resté à sa place, bien au chaud. Le cul cambré au maximum, bien ouverte, je la sens partir. Elle se perd lorsque je masse l’œuf vibrant à travers la fine et sensible paroi de chair qui le sépare de mes doigts. Il lui faut sa levrette, vite. Je m’y colle en premier, alors qu’elle continue à se délecter du sexe de Xtoff qu’elle apprécie particulièrement. Elle le suce goulûment, lui gobe ses couilles, le lèche partout, s’approprie son odeur et sa saveur. Elle jouit, je jouis. C’est bon. Après une brève pause qui nous permet de reprendre nos esprits,

elle le chevauche à califourchon sur un matelas que j’avais amené et disposé à même le sol à la demande de Lou.

Ils se mettent sur le flanc, je les regarde jouir ainsi, alangui sur mon fauteuil l'appareil photo dans une main, un verre de savagnin dans l'autre. Et c’est beau.