Mardi 18 juin 2 18 /06 /Juin 00:07

Alors que je devais séjourner trois jours à Paris pour le travail, Fred proposait que l’on prenne un verre ensemble un soir. Le principe était acquis et Fred en informa Lou par skype en enjolivant un peu dans le but évident de la rendre jalouse : il était question d’une sortie entre mecs au cours de laquelle nous aurions laissé libre cours à nos penchants libertins en charmante compagnie. L’effet fut immédiat et dépassa probablement ses espérances car le soir-même, Lou proposa de me rejoindre pour s’encanailler avec nous. Ni une ni deux, nous réservâmes un appartement coquet près de la place de la Nation, Lou prit son billet de train et nous trouvâmes un mode de garde pour les enfants. Nous projetions avec Fred d’aller visiter le musée de l’érotisme pour pimenter nos retrouvailles. Comme j’avais une réunion jusqu’assez tard et dans le but d’exciter mon imagination de mari candauliste, Lou et Fred devaient prendre un verre ensemble en m’attendant. Le jour J, je les retrouvais donc attablés en terrasse, dégustant un verre de vin blanc place Pigalle. Elle était radieuse, vêtue d’une robe noire, de bas nylon, de talons hauts et parée de bijoux. Le tout dégageait une classe qui tranchait franchement avec l’endroit. Je remarquais tout de suite cette expression qui m’est familière sur son visage, qu’elle arbore lorsqu’elle est excitée par les hommes. Je devinais qu’elle mouillait déjà à l’idée du traitement que Fred allait lui infliger et savais alors qu’elle allait être très salope ce soir-là. Je saluais Fred, embrassais ma belle et pris un ballon avec eux. L’heure tournant et les estomacs réclamant leur dû, nous décidâmes de substituer un restaurant au musée de l’érotisme. Notre libido pouvait bien attendre un peu pour être rassasiée. Le restaurant était assez typique de l’endroit : un chanteur de pacotille, des touristes étrangers en goguette et des habitués venus guincher sur quelque reprise catastrophique d’Edith Piaf. En bon complice candauliste et comme lors de notre première rencontre, je suggérais à Fred de s’assoir à côté de Lou. Il ne se fit pas prier et tarda moins que la première fois à poser sa main gauche sur les jambes de la belle et à remonter à son entrejambe. Lou fut également plus prompte à tâter la région déjà érigée de la braguette de Fred. Les deux esprits pervers faisaient en sorte que je devine leur jeu sans le voir, sachant combien cela m’excite. Lou s’étant éclipsée aux toilettes en sous-sol, nous discutions de choses et d’autres avec Fred quand ses yeux se mirent à briller : « et si j’allais la rejoindre pour tester sa motivation ? Qu’en dis-tu ? », me demanda-t-il. Mon sourire complice suffit. Je rajoutais, par acquis de conscience : « tu peux y aller, elle est très motivée ». Il bondit de sa chaise et disparu de mon champ de vision. Plusieurs longues minutes plus tard, ma succube réapparaissait, sourire narquois et joues empourprées, suivie de son délicieux bourreau. Ils m’expliquèrent qu’il l’avait surprise à sa sortie des toilettes et l’avait attirée à la hâte dans un WC adjacent, sans anticiper que dans celui-ci la lumière ne fonctionnait plus. Il a déclenché des torrents en la masturbant sans fioritures et a essayé en vain de lui retirer sa culotte pour me ramener un trophée, mais le porte-jarretelles l’en a empêché. La belle bourgeoise bon chic bon genre s’est rapidement retrouvée accroupie dans les chiottes d’un restaurant sordide de Pigalle, une queue conquérante investissant sa bouche sans lui demander son avis, pour son plus grand plaisir. Les ravioles agglomérées servies en plat de résistance ont dû lui paraître bien fades après. Pressés de pouvoir consommer autre chose que cette nourriture infâme, nous décidâmes de nous rendre à l’appartement. Fred acheta une boîte de préservatifs dans un sex-shop glauque et sur ma proposition, nous fîmes un détour rapide par le fameux supermarché du sexe qui, à notre grand étonnement, était très fréquenté notamment par des groupes de filles. J’aurais souhaité faire des emplettes mais mes comparses étaient manifestement très pressés d’en découdre. Je n’insistais pas outre mesure, car j’avais prévu quoi qu’il en soit une petite surprise pour Lou, un joujou extra qui, je le savais, nous la mettrait dans un état d’excitation avancée. Mari candauliste je suis, mais pas passif pour autant ! Les plaisirs subtils du candaulisme, c’est dans métro que je les ai retrouvés. Il était bondé et nous étions contraints de nous serrer les uns contre les autres… lorsque de la place s’est libérée, j’ai pu constater que pour Fred et Lou, étreinte ne rimait pas avec contrainte quand Lou déclina avec un grand sourire ma proposition naïve de se déplacer vers un endroit plus aéré. Elle enfonça le clou en me disant que la promiscuité n’avait pas que des inconvénients. Je m’aperçus alors qu’elle et lui se pelotaient ostensiblement, à tel point qu’il semblerait, d’après que qu’ils m’ont confié plus tard, que certains passagers masculins aient repéré leur manège et compris le caractère non conventionnel de la situation. Quelques minutes après Lou me faisait le plaisir de s’asseoir en face de moi et de m’exhiber, ainsi qu’à mon jeune voisin, ses bas coutures jusqu’à la jarretière. Il devenait urgent que nous nous mettions à l’abri des regards dans notre appartement car l’envie devenait irrésistible. Arrivés dans l’immeuble, Fred invita Lou à le précéder dans les escaliers. Il passa les trois étages à lui caresser la croupe et l’entrejambe comme pour tâter la marchandise qu’il allait consommer sous peu. Arrivés au troisième palier, notre excitation était à son comble. Je plaquait Lou contre le mur, troussais sa robe au-dessus de sa taille dévoilant ses bas-coutures et son porte-jarretelles et lui saisissais sa vulve que je découvrais dégoulinante. Je ne manquais pas de le lui faire remarquer tout en immiscent facilement deux doigts dans son vagin et en la masturbant promptement comme elle aime. Après avoir été forcée de pomper dans les bas-fonds de la capitale, voici que notre victime consentante se retrouvait à moitié à poil dans la cage d’escalier d’un immeuble des beaux quartiers, à la limite de perdre la tête et les eaux. Fred et moi, en bourreaux impitoyables, lui faisions sans cesse sentir notre excitation depuis le début de la soirée. Elle savait que passé le pas de la porte de l’appartement, nous investirions sans délai et sans douceur sa bouche, sa chatte et son cul, et ça la rendait folle.

 

To be continued !

Par Le Cercle2Jeux - Publié dans : Rencontres
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